Les quais sont une source régulière de sujets. Toujours présentés déserts, ils portent en eux leurs propres symboliques.
Les cadenas des amoureux du Pont des Arts peuvent se trouver à l’endroit même ou les suicidaires se jettent dans la Seine... Ombres et lumières se cotoient toujours et ne cessent de jouer leur balai. Il est des destins qui ne peuvent être que tragiques.
"Au fond de la Seine, il y a de l’or
Des bateaux rouillés, des bijoux, des armes…
Au fond de la Seine, il y a des morts
Au fond de la Seine, il y a des larmes"
texte mis en musique par Kurt Weill en 1934, chanté par Marianne Faithfull en 1996.
Poème suggéré par Roselyne Chevalier.